Le budget que je prévoit utiliser pour est d’environ de 30 à 40 $.
Il faut tout d’abord compter environ 12 $ pour une boîte de bloc note, pour faire ma deuxième photo, la boîte contient 12 paquets de 100 feuilles de bloc note ce qui est bien suffisent pour mon projet. (Post it)
Après, j’ai besoin d’un rouleau de papier Craft pour les champignons, j’ai récemment acheter un rouleau de papier Craft ou qui imite le papier Craft pour 15 $ environ, je suis satisfait avec mes tests et donc je risque de racheter se rouleau.
Pour ce qui du papier carton et autre papier a origami, J’en possède déjà chez moi et donc il est possible de l’exclure du budget.
Suite aux commentaires de Gilbert sur le pecha kucha, il met important de remettre les pendules à l’heure afin de créer une synthèse qui ne crée pas la confusion. À la première classe, j’avais décidé que je ferais un projet de photographie basé sur la phrase « The world is better in my head. » Toutefois, la semaine suivant l’idée avait déjà évolué. Je voulais désormais représenter par le surnaturel, la détresse des gens qui sont surmené pas le travail, c’est donc l’élément du papier (qu’on associe souvent au travail) qui vient représenter dans mes croquis la détresse des gens, dans ce cas si les champignons en papier, l’enveloppe et les post-it. Après une grande réflexion, j’ai décidé de continuer mon travail de critiquer le surmenage et la pression que les compagnies peuvent faire pour nous posse à bout de nos performance tout sa dans le but de faire mieux que la compagnie d’en face. Comme l’a dit Gilbert chacun vas comprend ou interprété l’œuvre d’une manière différente et c’est peut-être ce qui à cause confusion. Je vais donc continuer mon projet avec mes trois photographie que j’avais présenté lors du pecha kucha qui sont les champignons qui pousse sur le bureau, la lettre avec un visage et les post it qui dévore un employé de bureau. Si l’on résume le véritable sens de ces trois images : Les post it qui ensevelit la personne représente la surcharge et le bras qui tente de s’extirper représente la détresse de la personne qui est surmené. Les champignons eux représentent de manière physique la fatigue qui précédent la dépression. Le champignon envahit le bureau comme une maladie. La lettre avec le visage représente une mauvaise nouvelle, mais plutôt que de le lire, on le comprend par le visage de la lettre. Elle peut représenter une personne qui vue son manque de performance récent ou à cause d’un problème économique doit se faire virer.
Mon projet tournera autour du sujet du rave, de la philosophie “PLUR” (Peace.Love.Unity.Respect.) et de l’aspect spirituel derrière ces événements. Mon projet aura pour but d’immerser le spectateur dans une expérience sensorielle rappelant le rave par un travail visuel, littéraire, auditif et olfactif. Les images créer auront pour but d’imager la conscience humaine et collective, la relation de l’homme avec l’univers, avec les “esprits” et avec ses semblables. Le projet reprendra donc la musique et la déco des raves et festivals psytrance. Un dôme en tissu sera créer dans lequel il y aura utilisation de lumière ultraviolet et d’accessoire fluo. Il y aura aussi présence d’encens et de musique électronique psychédélique. Des coussins seront au sol pour permettre au spectateur de s’asseoir, de méditer et de s’imprégné de l’oeuvre. Les oeuvres seront disposées sur les parois de ce dome, un peu partout, de façon à entourer le spectateur. Au centre de ce dôme se trouvera un “arbre” (des branches ou une structure que je construirai) sur lequel pendra les différents textes accompagnant le reste du projet, rappelant ainsi le “wish tree” du festival Shambhala. Le spectateur pourra donc entrer dans la structure, s’y installer, lire, méditer, examiner. L’espace clos, ce dôme, donnera un effet d’immersion additionel, comme si le spectateur entrait dans ma tête et voyait ce que je pense et ressens face à ce monde.
Les oeuvres visuelles auront des couleurs intenses. Certaines seront réalistes, d’autres plutôt “cartoon” ou graphique. Elles seront créer à l’acrylique et/ou au pastel sec, toutes seront en couleurs.
Il y a plein de projet que j’ai en tête, mais il y en a un
qui me trotte dans la tête depuis un certain temps, que je crois qu’il est
maintenant temps que je mette sur papier. Mon projet final de cégep est l’occasion
idéale pour le réaliser.
Mon projet a pour but de me sortir de la dépression et de la
prise de médicament qu’elle entraine, par de dévoilement de ma maladie. Mais puisque
je n’ai aucune envie de montrer au monde que je suis dépressive, je vais le
faire de façon cachée. Je vais y arriver en faisant un livre d’artiste sous
forme de journal intime qui raconte le début de ma dépression jusqu’à aujourd’hui.
J’ai décidé de faire cela parce que j’ai essayé par plusieurs moyens de m’en
sortir, mais aucun n’a encore fonctionné. Il est à l’image de ma tête en
désordre, de couleur rouge, noir, blanc et gris. Ce sont les couleurs que j’utilisais
pour sortir le trop plein de peine en peignant. Les pages sont sur un support
dur pour représenter la colère et la frustration, avec des insertions de pages
molles pour le laisser aller. La couverture est à l’image du livre, mais pas
tout à fait. Le titre est ‘’caché – à la vue’’ le fait que je le mette dans la
bibliothèque centrale de l’UQAM reflète que je ne veux pas me montrer. Il y a
des milliers de livres qui veulent tous être unique et spécial que le mien ne
fait que se perdre dans la masse, tout comme moi dans la société. Le mettre sur
un banc de parcest significatif pour
moi parce qu’un inconnu que je n’ai pas vu, ne connais pas va lire en moi et me
connaitre. Je vais aussi le donner en main propre à un autre inconnu, pour
créer un contact. Je crois que ça va être ce qui va m’aider le plus à passer à
travers, de montrer à un inconnu qui je suis au-delà des regards des gens.
Pour finir, je peux résumer mon projet en une phrase :
un journal d’artiste qui me permet de sortir de la dépression par le fait qu’il
soit à la vue mais caché.
Suite à ma présentation de la semaine passée et au commentaire de Gilbert sur la petinence du sujet choisi, j'ai repensé à mon projet. J'ai donc décidé de me concentrer sur le rave plutôt que sur la spiritualité en général; exprimé l'attachement que j'ai envers ce mode de vie, l'importance qu'il a pour moi, pour la communauté qui y participe, et l'énorme potentiel social que j'y vois. Mon travail restera semblable à l'idée que j'ai déja, mais il sera plus facil pour moi de justifier certaines décisions (ex : l'utilisation de déco "psytrance" ou de musique électronique). Considérant que ma spiritualité émane de ce que j'ai vécu dans ces raves et festivals, il devient logique que ce soit le sujet sur lequel je m'attarde.
Je publierai, dans les jours qui viennent, plusieurs textes d'auteurs qui m'ont fortement influencé. Je pense, notamment, à Terrance McKenna ou Timothy Leary. Je ferai de même pour des peintres et artistes en tout genre. De plus, ma première peinture est presque terminée, et j'ai quelques autres dessins d'idées à publier (je le ferai dès que je les aurai scanné).
Je parlais de déco "psytrance" lors de ma présentation. Voici quelques exemples (tous à Montréal) pour vous mettre un peu en contexte. Bien entendu, ma déco n'aura pas cette ampleur et autant de détails; c'est surtout au niveau de la forme (cette forme de dôme), du tissu (les draps troués tendu un peu partout), de la couleur, etc., que je formerai ma propre déco.
Et voici une photo plus en détail :
=======================================
Je vous laisse, pour aujourd'hui, avec ce vidéo de Jeet Kei Leung lors de sa conférence à Vancouver, en marge de TEDx, sur les Festivals de musique électronique.
